CE N’EST PAS NOTRE PAYS QUI EST USÉ, C’EST NOTRE SYSTÈME ET UN SYSTÈME ÇA SE CHANGE !

I. La démocratie française mise au défi de Faire

Une crise de confiance : 

67 % des Français estiment que notre démocratie ne fonctionne pas bien. (CEVIPOF, janv 2016). Le sentiment que les Français expriment en premier concernant le politique est pour 39 % d’entre eux de la méfiance, et pour 33 % du dégoût. Plus des deux tiers des Français ont donc aujourd’hui une opinion extrêmement négative de la vie politique.

Cette crise de confiance en vient jusqu’à ébranler nos institutions : seuls 35 % des Français font confiance en l’institution présidentielle, 29 % en l’institution gouvernementale et seulement 12 % au partis politiques. Une large majorité de Français ne fait plus confiance aux institutions qui structurent la vie politique nationale.

A ces indicateurs s’ajoute le niveau élevé de l’abstention de Français qui considèrent que leur vote ne changera rien.

Il faut y ajouter les scores de plus en plus élevés du Front national et sa forte dimension de vote  « antisystème ». Le vote extrême gagne du terrain parce que les partis traditionnels sont assimilés à une préservation du statu quo.

La démocratie française est plus que jamais mise au défi de regagner la confiance des Français : pour cela elle doit démontrer sa capacité d’action. La rupture, le changement, ne peuvent plus être des slogans, ils doivent devenir des réalités.

Une crise d’efficacité :

Le pouvoir exécutif apparaît d’abord impuissant à assurer l’autorité. Alors que le rôle du pouvoir exécutif devrait être en premier lieu d’assurer le respect des règles (respect de la loi, exécution des décisions de Justice), il ne s’emploie plus qu’à légiférer : les interventions présidentielles sont ainsi ponctuées depuis des années par des « annonces » nouvelles.

Au lendemain d’attentats meurtriers, alors que le pouvoir exécutif devrait retrouver son rôle premier – assurer la sécurité des Français – le Président de la République annonce une révision de la Constitution… C’est là l’illustration d’un exécutif impuissant transformé en législateur permanent.

Une société bloquée malgré la nécessité d’adapter ses règles. Tout, dans la situation du pays – augmentation permanente du chômage, accroissement de la dette publique, régimes sociaux non financés… – traduit la nécessité de changements profonds. Et pourtant notre pays donne le sentiment d’être comme figé, immobile, incapable d’avancer.

Les blocages et contraintes qui brident notre pays sont multiples : 

  • freins à l’embauche en raison d’un droit du travail trop rigide et de charges sur le travail trop élevées
  • frein au développement de l’entrepreneuriat en raison d’une fiscalité du capital inadaptée
  • contraintes excessives imposées à nos agriculteurs, la France mettant en place des réglementations plus restrictives encore que les normes européennes
  • blocage des réformes indispensables comme celle de l’Education nationale, alors même que le système éducatif français dégringole dans les classements internationaux
  • blocage du dialogue social 

Alors que les autres grands pays européens ont su conduire les réformes leur permettant de se relancer, la France n’a toujours pas réussi son Aggiornamento.

Pour regagner la confiance des Français, notre démocratie est aujourd’hui mise au défi de démontrer sa capacité à FAIRE.


II. François Fillon promeut une nouvelle façon de diriger qui permettra de lever les obstacles pour réussir les réformes nécessaires

De la préparation du projet à sa mise en oeuvre, François Fillon est porteur d’un renouvellement de la pratique de nos institutions qui garantira l’effectivité des engagements pris devant les Français.

  • La primaire comme changement profond dans la façon de trancher les choix :

La primaire vient transformer de façon profonde la vie politique française. François Fillon a été le premier à droite à la défendre, en les faisant inscrire dans les statuts du parti. Il défend la primaire comme le moyen le plus démocratique et moderne de trancher la question du choix du candidat et du projet.

  • Une méthode inédite de préparation du projet  avec la société civile :

Les projets des précédentes campagnes présidentielles étaient préparés par une poignée de collaborateurs, la société civile et les élus y étant associés en bout de course, davantage pour les diffuser que pour y contribuer. François Fillon a inversé ce paradigme : d’abord, il a mis au cœur de sa méthode l’écoute des remontées de terrain et des témoignages des Français, que ce soit lors de ses déplacements ou via son site internet; ensuite il a bâti le projet en premier lieu en y associant la société civile et notamment plus de 500 professionnels.

  • Trois années de préparation du projet : 

Un projet politique pour réformer un pays comme la France peut-il être improvisé en quelques mois ? La conviction de François Fillon, c’est qu’un projet sérieux et réaliste nécessite du travail ! A la différence des autres candidats à la primaire, il s’est attelé très tôt à la construction de son programme, qu’il a commencée il y a trois ans. Cette préparation très en amont également se révèle comme une nécessité pour préparer les esprits très tôt aux changements profonds et radicaux qu’il est nécessaire de conduire, et pour mener une véritable pédagogie en vue de la transformation de notre modèle économique et social.

  • Un souci extrême de clarté et de précision du projet :

L’élection présidentielle est la seule qui puisse donner la légitimité nécessaire pour conduire des réformes radicales et profondes. Mais quand l’élection présidentielle est entachée de promesses de campagne ambiguës, elle ne donne pas la légitimité au Président élu pour réformer. Le flou de sa campagne de 2012 prive aujourd’hui François Hollande de la légitimité d’agir. La précision et la clarté du projet sont donc des conditions nécessaires à la conduite de réformes puissantes : le projet de François Fillon sera plus précis qu’aucun autre projet présidentiel ne l’a été.

  • Un calendrier rapide et précis d’adoption des principales réformes :

Le calendrier parlementaire devra permettre l’adoption des principales réformes dans les 100 jours qui suivent l’élection présidentielle. Cette rapidité d’adoption sera rendue possible par le niveau sans précédent de préparation de l’équipe gouvernementale et des textes, les principales réformes étant déjà rédigées sous la forme de projets de loi, voire au niveau de leurs décrets d’applications. L’adoption des réformes suivra un calendrier précis qui sera annoncé à l’avance.

  • Un gouvernement commando, avec des ministres choisis en fonction de leurs compétences :

Le gouvernement devra être resserré et les ministres nommés non plus uniquement par souci d’équilibre politique mais avant tout en fonction de leur expérience politique ou professionnelle et leur capacité à conduire les réformes lourdes.

  • Les principaux ministres seront désignés à l’avance afin  

François Fillon désignera les principaux ministres appelés à conduire les réformes juste après les primaires, soit 4 mois avant l’élection présidentielle. C’est la condition nécessaire pour que les ministres puissent se préparer aux lourdes responsabilités qui leur seront confiées et réussissent dans leur mission.

  • L’utilisation du référendum :

Il sera fait usage du référendum pour trancher des débats fondamentaux, comme la simplification de l’organisation territoriale du pays.  Le référendum devra retrouver sa vocation naturelle, celle de faire arbitrer par le peuple français des questions fondamentales, plutôt que de lui conserver sa vocation dévoyée, devenue plébiscitaire – pour ou contre le Chef de l’Etat. La logique référendaire défendue par François Fillon est celle d’une démocratie plus mature.

  • Une approche globale consistant à privilégier la confiance et la responsabilité :

François Fillon défend une approche globale basée sur la confiance et la responsabilité, sur la notion d’objectifs plutôt que de normes. C’est en ce sens qu’il promeut une décentralisation allant jusqu’au bout et non plus en déléguant des responsabilités tout en continuant de fixer un cadre rigide. C’est aussi en ce sens qu’il défend la logique de référendum d’entreprise ou de négociation du temps de travail au niveau de l’entreprise. C’est l’échelon local, libre et responsable, qui constitue le meilleur niveau de décision pour tout ce qui n’appelle pas une harmonisation nationale.

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